jeudi 17 septembre 2009

lundi 27 juillet 2009

mardi 30 juin 2009

L’histoire est connue : Rabbi Yossef Its’hak Schneersohn, le précédent Rabbi de Loubavitch, n’avait pas cessé, dans l’URSS de Staline, de lutter pour le maintien et le renforcement du judaïsme. Alors que les communautés juives ne savaient plus comment résister aux coups de boutoir de l’antisémitisme, Rabbi Yossef Its’hak multipliait les actions. Créant des écoles juives, des bains rituels, rouvrant des synagogues abusivement fermées, Rabbi Yossef Its’hak devint vite, pour le pouvoir soviétique, celui qu’il fallait abattre. Il fut arrêté et condamné à mort puis, miraculeusement, sa condamnation fut commuée en une peine de relégation dans un village reculé pour une longue période. Finalement, l’exécution de cette peine même ne dura que quelques jours et les 12 et 13 Tamouz devinrent les jours anniversaires de la libération de Rabbi Yossef Its’hak.

“Seul notre corps a été envoyé en exil, notre âme, elle, est libre !”Au cours de cette histoire, un épisode doit être relevé. Sur les marches du train qui devait le conduire dans cet exil qu’on croyait alors devoir être bien long, Rabbi Yossef Its’hak s’adressa aux ‘Hassidim qui, négligeant tous les risques, étaient venus nombreux le saluer avant son départ. Sans peur, il prononça ces fortes paroles : “Seul notre corps a été envoyé en exil, notre âme est libre et n’est soumise à aucune domination étrangère.” Il invitait ainsi ses disciples à toujours conserver la noble et exigeante condition de l’homme libre.

Il est clair qu’aujourd’hui nous vivons des temps qui semblent plus faciles. Ce sont des temps où la conviction et la pratique religieuse ne soulèvent pas généralement la colère du pouvoir et ne sont pas liées à des risques insurmontables. Cependant, même dans ces conditions-là, l’homme peut ne pas ressentir pleinement l’étendue de sa liberté. Prisonnier de son milieu, de ses habitudes, il peut ne pas croire à sa liberté. Il peut, sans même s’en rendre compte, s’enfermer dans les contraintes du monde qu’il s’est créé et penser que cette situation-là est irrémédiable. C’est justement dans un tel cas que Rabbi Yossef Its’hak nous donne son exemple. La liberté est à conquérir et elle appartient à tous. Dans les pires conditions, personne ne peut nous la retirer car elle est l’éternel cadeau de D.ieu. Il suffit de l’accepter.

jeudi 25 juin 2009

GAN ISRAEL

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jeudi 4 juin 2009

samedi 28 mars 2009

Définition du ‘HametsLe ‘Hamets provient uniquement des 5 céréales suivantes: Le blé, l’orge, le seigle, l’avoine, l’épeautre. Si l’une ou l’autre de ces 5 céréales est entrée en contact avec de l’eau, et que ce contact dure un certain laps de temps, cela provoque un phénomène de fermentation qui constitue le ‘Hamets. Tout ce qui ne correspond pas à cette définition, n’est pas ‘Hamets.Par conséquent, les KITNIOT ou légumineuses, comme le riz, les poix chiches, les haricots, les petits poids… ne sont pas ‘Hamets. Cependant, les Ashkenazim ainsi que certains Sefaradim ont la tradition de se les interdire durant Pessa’h, par crainte que des grains de céréales ‘Hamets y soient mélangées.Les personnes d’origines Ashkenazes n’ont strictement pas le droit d’en consommer, même en procédant à une Hatarat Nedarim.Par contre, les Sefaradim qui ont l’usage de s’interdire certaines ou toutes les Kitniot durant Pessa’h – par mesure de piété et non par ignorance de la Hala’ha selon laquelle les KITNIOT sont permises à Pessa’h - peuvent interrompre cet usage au moyen d’une Hatarat Nedarim. (S’ils se l’interdisaient croyant que les KITNIOT sont ‘Hamets, ils ne nécessitent pas de Hatara et peuvent interrompre leur usage à leur guise.)Si une femme Ashkenaziya se marie à un Sefaradi et que cette femme désire à présent se conformer à l’usage de son mari Sefaradi qui consomme des Kitniot durant Pessa’h, elle est tout à fait autorisée à le faire. Il est quand même souhaitable qu’elle procède au préalable à une Hatarat Nedarim.Si son mari lui demande de lui cuisiner des KITNIOT, mais qu’elle désire garder l’usage de ses parents, elle a quand même le droit de lui cuisiner les KITNIOT même si elle n’en mange pas elle-même. Il en est de même pour toute personne qui s’interdit les KITNIOT à Pessa’h, il lui est malgré tout permis d’en conserver pendant Pessa’h (sans les vendre) et même d’en cuisiner pour d’autres personnes qui se les autorisent. (Lire la suite)
Sources et développementIl est dit dans la Torah au sujet de Pessa’h (Shemot 13) : « Les Matsot seront consommées durant 7 jours, et il ne sera vu ni ‘Hamets, ni levain dans tes domaines. »Le ‘Hamets que la Torah interdit, correspond au contact de la farine de l’une des 5 céréales du DAGAN (Le blé ; l’orge ; le seigle ; l’avoine ; l’épeautre) avec de l’eau durant un certain laps de temps. Par ce contact, s’opère une modification de la constitution intérieure de la farine et débute la fermentation. Dés le début de cette fermentation, ce ‘Hamets devient interdit à la consommation et au profit, et il est également interdit à tout juif de le posséder chez lui durant Pessa’h.Par contre, il est prouvé à partir de la Guemara Pessa’him 114b ainsi que des propos des Poskim que le riz et les diverses KITNIOT, comme les petits poids et les haricots, sont autorisés à Pessa’h, car il n’y a de ‘Hamets que lorsque l’aliment est fait à base de l’une des 5 céréales du DAGAN que l’on a cité plus haut. Or, les KITNIOT n’en font pas partie.Tout ceci, à la condition que l’on veille à vérifier le riz de sorte qu’il n’y ai pas de grains de blé ou d’orge, ou d’autres céréales du DAGAN mélangée au riz, car – comme le soulignent de nombreux Rishonim - il arrive parfois dans les régions où l’on fait pousser le riz, qu’il y ai des champs de blé ou d’autres céréales ‘Hamets à proximité. De même, les sacs dans lesquels on transposte le riz, servent aussi à transposter les céréales ‘Hamets, qui peuvent ensuite se mélanger au riz et par cela, interdire tout un plat cuisiné avec ce rizC’est pourquoi, il est d’usage de trier le riz pour Pessa’h avec une grande vigilance et beaucoup de concentration, 3 fois consécutives, à un moment où les enfants en bas âges ne se trouvent pas à proximité des personnes qui vérifient.A cause du risque de mélange de grains de céréales DAGAN avec les grains de KITNIOT, les Ashkenazim ont la tradition de s’interdire les KITNIOT durant Pessa’h, comme le rapportent les Rishonim, ainsi que le RAMA (sur O.H 453-1), et MARAN dans le Beit Yossef (O.H 453).Il y a aussi quelques Sefaradim très scrupuleux (essentiellement ceux originaires d’Afrique du nord) qui s’imposent également l’usage de s’interdire la consommation de riz durant Pessa’h, tout comme les Ashkenazim.Mais cependant, ils ne s’interdisent en général que le riz et non le reste des KITNIOT. (Ces dernières années, le Rishon Letsion - Grand Rabbin Sefarade d’Israël - le Gaon Rabbi Shelomo Moshé AMAR shalita a interdit de donner un certificat de Casherout pour Pessa’h à l’épice « Cumin », car sa forme ressemble très fortement à celle de l’avoine, et il est très possible que des grains d’avoines se soient mélangés au cumin sans que l’on s’en rende compte. C’est pourquoi, il prit la décision d’interdire totalement le cumin pour Pessa’h. Cette rigueur est comparable à l’usage de ceux qui s’interdisent les KITNIOT.Cependant, d’autres organismes de Casherout ont accepté de donner un certificat de Casherout au Cumin.)Les personnes d’origines Ashkenazes qui ont la tradition de s’interdire la consommation de Kitniot durant Pessa’h, n’ont strictement pas le droit d’en consommer, même en procédant à une Hatarat Nedarim (une annulation des vœux).Par contre, les A’haronim (voir peri ‘hadash sur O.H 496 ; Shou’t Lev ‘Haïm tome 2 chap.94) ; Shou’t Rav Pe’alim tome 3 sect. O.H chap.30 et d’autres…) tranchent que les Sefaradim qui ont l’usage de s’interdire certaines ou toutes les Kitniot durant Pessa’h – par mesure de piété et non par ignorance de la Hala’ha selon laquelle les KITNIOT sont permises à Pessa’h - , peuvent interrompre cet usage au moyen d’une Hatarat Nedarim. (S’ils se l’interdisaient croyant que les KITNIOT sont ‘Hamets, ils ne nécessitent pas de Hatara et peuvent interrompre leur usage à leur guise.)Si une femme Ashkenaziya - qui avait l’usage chez ses parents de ne pas consommer de Kitniot durant Pessa’h - se marie à un Sefaradi qui n’a pas l’usage de s’interdire leur consommation, et que cette femme désire à présent se conformer à l’usage de son mari Sefaradi qui consomme des Kitniot durant Pessa’h, elle est tout à fait autorisée à le faire. Il est quand même souhaitable qu’elle procède au préalable à une Hatarat Nedarim, afin de pouvoir consommer des KITNIOT avec son mari, conformément à la tradition Sefarade.En effet, MARAN tranche dans le Shoul’han ‘Arou’h (Y.D 214) qu’une personne qui quitte un endroit dans lequel on interdit de faire une certaine chose précise, pour aller s’installer définitivement dans un endroit où cette même chose est permise, cette personne est autorisée à réaliser cette chose à l’endroit dans lequel elle vit à présent, et n’est plus du tout soumise aux restrictions de l’endroit dans lequel elle vivait auparavant. Une femme qui se mari, est considérée comme une personne qui a quitté définitivement un endroit pour vivre dans un autre.Selon Plusieurs A’haronim – comme notre maître le ‘HYDA dans son livre Ma’hzik Bera’ha (sur O.H 67 note 6) ; le Gaon Rabbi ‘Haïm MODA’I dans son livre Shou’t ‘Haïm Le’olam (sect. O.H chap.7) ; le Gaon Rabbi Its’hak TAÏEB dans son livre ‘Ere’h Ha-Shoul’han (sur O.H chap.453 note 4) ; et d’autres… - si son mari lui demande de lui cuisiner des KITNIOT, mais qu’elle désire garder l’usage de ses parents, elle a quand même le droit de lui cuisiner les KITNIOT même si elle n’en mange pas elle-même. Il en est de même pour toute personne qui s’interdit les KITNIOT à Pessa’h, il lui est malgré tout permis d’en conserver pendant Pessa’h (sans les vendre) et même d’en cuisiner pour d’autres personnes qui se les autorisent.

vendredi 27 mars 2009

jeudi 19 mars 2009

Préparation de pessah

La Cuisine

Comment Préparer la Cuisine

Nous devons effectuer un processus de cachérisation dans la cuisine pour qu’elle devienne « Cacher LePessa’h ». Cette action à pour but de détruire les traces de ‘Hamets contenues dans les ustensiles ou outils de cuisines.

Plats et ustensiles :

Il est nécessaire d’avoir des assiettes, des couverts, des casseroles, des marmites et autres ustensiles qui soient exclusivement réservés à Pessa’h. En cas de nécessité, certains ustensiles utilisés tout au long de l’année, peuvent être utilisés à condition d’avoir été cachérisés pour Pessa’h. Chaque élément devra – selon son usage courant – subir une action adéquate. On consultera un Rabbin pour cela.

Cuisinière :

Il faudra préalablement nettoyer et frotter les différentes parties du four ; puis, le four sera chauffé à la plus haute température possible pendant au moins une ou deux heures. Les grilles et les parties métalliques de la cuisinière seront chauffées à blanc. Ensuite, il sera bon de recouvrir le four et le dessus de la cuisinière avec du papier aluminium ou avec une plaque métallique.

Four à micro-ondes :

Il faudra nettoyer le four ; puis on remplira d’eau un récipient propre – n’ayant pas été utilisé pendant les dernières 24 heures – que l’on posera à l’intérieur de four. On mettra en route le four à micro-onde jusqu’à ce que se forme une vapeur abondante. Enfin, on éteindra le four que l’on prendra soin de sécher. Il faudra ensuite placer une plaque de polystyrène ou tout autre objet épais entre la marmite et la paroi du four sur laquelle elle repose. Les aliments doivent être couverts de toute part pendant le temps de cuisson.

Evier en inox ou en résine de synthèse :

Il sera consciencieusement nettoyé et laisser au repos 24 heures avant de le cachériser ; on n’y déversera plus d’eau chaude provenant d’un ustensile ‘Hamets. Puis, on versera de l’eau bouillante, provenant d’une casserole qui n’a pas été utilisée pendant les dernières 24 heures, sur chaque partie de l’évier, l’égouttoir compris. L’évier sera, alors, rincé et séché.

Réfrigérateur, congélateur, éléments de cuisine, placards, tables et tiroirs :

On les nettoiera, on les frottera méticuleusement, afin d’en retirer toutes les miettes et tous les résidus. Ensuite, on recouvrira d’un papier épais les surfaces entrant en contact avec la nourriture ou les ustensiles chauds.

Nappes et napperons :

Un lavage – sans amidon - suffira

POURIM HASSITIQUE

lundi 2 mars 2009






AU BETH HABAD C.CIAL LES VERGERS
LUNDI 9 MARS 2009
19h30 et a 21h00
MARDI 10 MARAS 2009
6h30 8h30 10h00 11h00 12h00
MAGASINS
LES DELICES DE S.BRICE 12h45 (01.39.94.20.00)
MIKACHER 13h45 (01.34.19.72.99)
SUPER CACH14h45 (01.34.38.43.47)
SALE DES FÊTES FAUVETE 12 Rue de Paris a Domont 18h00 (06.61.99.59.74)
Les BATEÏ HABAD de S.BRICE et DOMONT
sont heureux de vous inviter au
GRAND FESTIN DE POURIM
à la MEXICAINE
le MARDI 10 MARS 2009 à 18h00
à la salle des fêtes
LES FAUVETTES
12, rue de paris 95330 DOMONT
AU PROGRAMME
Lecture de la Meguilla - Animation Musicale - Repas gastronomique
Animation spéciale enfants ( pop-corn, barbe à papa, château gonflable,etc...)
Projection vidéo
réservations obligatoire par SMS 06.61.99.59.74 ou par Mail loubabrice@gmail.com ou au Beth Habad C.Cial les vergers 95350 S.Brice
p.a.f 15€ par Adulte et 0€ par enfants

jeudi 19 février 2009





Plus Vite, Plus Vif
Un Hassid qui vivait près de Loubavitch avait marié sa fille à un jeune Talmid ‘Ha’ham, un étudiant très prometteur en matière de connaissance de la Torah. Le beau-père était si fier qu’il s’engagea à subvenir aux besoins du jeune couple afin que le jeune homme puisse se consacrer à ses études sans aucun souci.
Mais peu de temps après, le jeune prodige se retrouva en mauvaise compagnie et il se mit, très vite à négliger ses études, puis il commença à se détourner des sentiers de la Torah. C’est après des efforts considérables que le beau-père angoissé réussit à persuader son gendre de rencontrer le Tséma’h-Tsédek, Rabbi Ménachem Mendel de Loubavitch.
« Dis-moi, » dit le Rabbi au jeune génie qui avait maintenant la passion des courses de chevaux, « qu’est-ce qui fait la supériorité d’un cheval rapide ? Il est capable de traverser une vingtaine de kilomètres pendant qu’un cheval moyen en parcourt simplement quatre ; mais lorsqu’il s’engage dans une mauvaise direction, il s’éloigne de sa destination initiale cinq fois plus vite ! »
« C’est exact ! » reconnut le jeune homme. « Dans ce cas la rapidité du cheval est à son désavantage. »
Puis le Rabbi poursuivit sa démonstration. Ce sont ces derniers mots qui touchèrent le jeune homme dans le fond du cœur : « Souviens-toi, cependant, qu’aussitôt que le cheval réalisera qu’il s’est égaré, il pourra rejoindre le droit chemin beaucoup plus rapidement qu’un cheval moyen. »

rabanit haya mouchka




La Rabbanit 'Haya Mouchka épouse du Rabbi, a quitté ce monde le 22 Chevat 5748 (1988).
Elle était la seconde fille du Rabbi Rayats. Elle se distinguait par sa profonde connaissance de la Torah, sa grande intelligence et son comportement majestueux. Son sens raffiné de l'humour, son attitude positive envers chaque détail la rendaient agréable à tous. Elle assumait sa mission avec une profonde humilité.

Le Rabbi remarqua que le Rabbi Rayats avait quitté ce monde en Chevat, de même que sa grand-mère, la Rabbanit Rivka, sa mère; la Rabbanit Shterna Sarah et sa fille, la Rabbanit'Haya Mouchka.

Un autre lien existe aussi entre les trois Rabbanyot.

Lorsque la Rabbanit Rivka quitta ce monde, elle demanda un verre d'eau et aussitôt rendit l'âme. Il en fut de même pour la Rabbanit Shterna Sarah qui, juste avant de mourir, demanda également un verre d'eau. Et la Rabbanit 'Haya Mouchka fit la même demande, peu avant de quitter ce monde.

A l'occasion de l'un de ses anniversaires, les femmes 'Habad envoyèrent un bouquet de fleurs à la Rabbanit. Elles lui adressèrent également une liste de femmes qui avaient besoin d'une bénédiction. Le secrétaire reçut le bouquet et transmit la lettre au Rabbi. Celui-ci, observant l'enveloppe, y vit inscrit le nom de son épouse. Il demanda donc que cette lettre soit transmise à la Rabbanit, mais le secrétaire expliqua qu'il s'agissait, en fait d'une liste de personnes sollicitant une bénédiction. Le Rabbi dit alors: "Elle peut également bénir."

Lors du procès qui établit la propriété des livres de la bibliothèque Loubavitch (il s'agissait de savoir si ces livres appartenaient à l'héritage de la famille du Rabbi précédent ou étaient la propriété collective des hassidim) la Rabbanit vint porter témoignage. L'avocat de la partie adverse lui demanda:
"Qu'en pensez-vous? A qui appartenaient ces livres? A votre père ou aux 'Hassidim?"
La Rabbanit répondit:
"Mon père et les livres appartiennent aux 'Hassidim."

Ces mots exercèrent une profonde impression sur le juge et ils furent déterminants dans la victoire finale. Le Rabbi rapporta ce récit, à l'issue du Chabbat Parachat Terouma 57481988, après les sept jours du deuil.

La Rabbanit quitta ce monde, le mercredi de la Parachat Michpatim, après une courte maladie. Son enterrement eut lieu quelques heures après son décès, en présence de quinze mille personnes. Elle repose près de sa grand-mère, la Rabbanit Shterna Sarah et face à son père, le Rabbi Rayats.